Occurences de l'expression

mme

pour BARO, Balthazar

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LA PARTHÉNIE (1642)

Comment cet indomptable et fameux Alexandre, v.2 (Acte 1, scène 1, NEARQUE)
Dont la flamme imitant celle d'un feu de paille, v.21 (Acte 1, scène 1, HARPALE)
Ayant comme les Dieux obtenu des autels v.43 (Acte 1, scène 2, ÉPHESTION)
Ma défaite me charme, et ma flamme me plaît. v.52 (Acte 1, scène 2, ALEXANDRE)
Ainsi, comme mes sens demeuraient enchantés v.67 (Acte 1, scène 2, ALEXANDRE)
Qui tous armés de traits et tous couverts de flamme, v.101 (Acte 1, scène 2, ALEXANDRE)
Vois comme la Fortune a d'étranges revers, v.103 (Acte 1, scène 2, ALEXANDRE)
Cette flamme est récente ? v.107 (Acte 1, scène 2, ÉPHESTION)
En ont vu le progrès et le commencement. v.108 (Acte 1, scène 2, ALEXANDRE)
Une femme fidèle, v.117 (Acte 1, scène 2, ALEXANDRE)
Qui la voit tous les jours, qui fut prise comme elle : v.118 (Acte 1, scène 2, ALEXANDRE)
Me paraît sur ton front comme il est dans son coeur. v.128 (Acte 1, scène 3, ALEXANDRE)
Des discours d'une femme et des voeux d'un Amant. v.132 (Acte 1, scène 3, CARINTE)
Si son coeur adouci vos flammes approuvait : v.152 (Acte 1, scène 3, CARINTE)
Et si je dois mourir, comme j'y suis tout prêt, v.159 (Acte 1, scène 3, ALEXANDRE)
La flamme dont je brûle est pure comme toi. v.224 (Acte 1, scène 4, ALEXANDRE)
Je connais mes défauts comme votre mérite, v.234 (Acte 1, scène 4, PARTHÉNIE)
Ne me regarde plus comme ton ennemi, v.248 (Acte 1, scène 4, ALEXANDRE)
Darie en son endroit commença ses pratiques, v.266 (Acte 1, scène 4, PARTHÉNIE)
Comme de mon bonheur sa mort est une marque, v.282 (Acte 1, scène 4, ALEXANDRE)
Que vous me nommerez à cet aimable frère, v.338 (Acte 1, scène 4, PARTHÉNIE)
Et pour lui témoigner comme je vis encor, v.339 (Acte 1, scène 4, PARTH?NIE)
Mais comme elle aime à vaincre, elle aime à pardonner. v.380 (Acte 2, scène 1, ÉPHESTION)
Ont comme son courage éprouvé ses bontés. v.384 (Acte 2, scène 1, ?PHESTION)
De se dire ma soeur de me nommer son frère ? v.418 (Acte 2, scène 1, HYTASPE)
Qu'avec quelque raison sa flamme me surprend : v.424 (Acte 2, scène 1, HYTASPE)
Comme ma volonté ma puissance est bornée, v.497 (Acte 2, scène 2, HYTASPE)
Je ne regarde pas que cet homme, qui brave, v.537 (Acte 2, scène 2, HYTASPE)
Qu'elle est comme mon ombre à mes pas attachée. v.605 (Acte 2, scène 3, PARTHÉNIE)
Ce mal est sans remède et nous sommes perdus. v.612 (Acte 2, scène 3, PARTHÉNIE)
Se dispose à brûler d'une étrangère flamme ? v.618 (Acte 2, scène 3, HYTASPE)
Hytaspe tout ravi de l'objet de sa flamme v.657 (Acte 3, scène 1, CARINTE)
Pour donner un peu d'air à leur flamme commune v.665 (Acte 3, scène 1, CARINTE)
Vous savez que vos yeux ont allumé ma flamme, v.766 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
S'il faut de votre flamme éteindre las ardeurs v.771 (Acte 3, scène 2, PARTHÉNIE)
Et comme s'il eût des éclairs dans les yeux v.820 (Acte 3, scène 3, HYTASPE)
Laissait régner sa flamme où règne sa vertu. v.836 (Acte 3, scène 3, HYTASPE)
Et mon coeur que le jour commence de lasser, v.987 (Acte 3, scène 4, PARTHÉNIE)
Comme tu perds la voix, que ne perds-je la vie ? v.1002 (Acte 3, scène 4, HYTASPE)
Rend comme mes conseils sa raison impuissante v.1006 (Acte 4, scène 1, ÉPHESTION)
Et comme si la gloire attirait son mépris v.1008 (Acte 4, scène 1, ?PHESTION)
Et pour un vain plaisir où sa flamme se fonde, v.1013 (Acte 4, scène 1, ?PHESTION)
Quelle flamme jamais eut plus de violence ? v.1073 (Acte 4, scène 3, ALEXANDRE)
Comme sans liberté je sois sans jugement ? v.1076 (Acte 4, scène 3, ALEXANDRE)
M'ont ôté la raison comme la liberté, v.1116 (Acte 4, scène 3, ALEXANDRE)
Vous ne savez donc pas jusqu'où vivent les flammes v.1129 (Acte 4, scène 3, ÉPHESTION)
Nul homme contre moi ne le peut disputer, v.1172 (Acte 4, scène 3, ÉPHESTION)
Je tairai les sujets d'où naquit cette flamme v.1209 (Acte 4, scène 4, PARTHÉNIE)
Comme ils avaient dessein d'unir en nos personnes v.1213 (Acte 4, scène 4, PARTH?NIE)
A fait tomber Hytaspe et sa femme en vos mains, v.1232 (Acte 4, scène 4, PARTH?NIE)
De peur que comme Époux il n'excitât l'envie v.1233 (Acte 4, scène 4, PARTH?NIE)
Voilà dans peu de mots comment ce favori v.1235 (Acte 4, scène 4, PARTH?NIE)
Veuve aussitôt que femme eussiez-vous rejeté v.1243 (Acte 4, scène 4, ALEXANDRE)
Que nul homme jamais n'en montra davantage. v.1254 (Acte 4, scène 4, LYCANDRE)
Il est mort par le fer, le poison ou la flamme, v.1282 (Acte 4, scène 4, PARTHÉNIE)
Que lui communiquant quelques restes de flamme, v.1309 (Acte 4, scène 4, PARTH?NIE)
Tes mains comme ton coeur de pitié dépouillées, v.1337 (Acte 4, scène 4, PARTHÉNIE)
Comme je t'ai perdu je veux perdre la vie. v.1410 (Acte 5, scène 2, ALEXANDRE)
Et déjà notre amour sans ta flamme importune v.1489 (Acte 5, scène 4, PARTHÉNIE)
Joindrait comme nos coeurs nos deux ombres en une. v.1490 (Acte 5, scène 4, PARTH?NIE)
Tu dois ce sacrifice à ta pudique flamme, v.1521 (Acte 5, scène 4, ALEXANDRE)
Sans ce que je devais à ma première flamme v.1545 (Acte 5, scène 4, PARTHÉNIE)
Reprenne en même temps et son corps et sa flamme. v.1614 (Acte 5, scène 5, ALEXANDRE)
Et sans commettre un crime on n'en peut murmurer : v.1636 (Acte 5, scène 6, HYTASPE)
Pour vous à qui ma flamme a coûté tant de larmes, v.1641 (Acte 5, scène 6, ALEXANDRE)

SAINT EUSTACHE MARTYR (1649)

Adorable Empereur, et qu'à bon droit on nomme v.17 (Acte 1, scène 1, PLACIDE)
Soient comme le sujet l'ornement des histoires, v.34 (Acte 1, scène 1, PLOTINE)
Comme un faible soutien d'une illustre couronne v.42 (Acte 1, scène 1, PLACIDE)
Ainsi comme il le doit mon esprit se limite, v.53 (Acte 1, scène 1, PLACIDE)
Ils vont recommencer une guerre sanglante v.61 (Acte 1, scène 1, PLACIDE)
Méprise les trésors comme les dignités. v.120 (Acte 1, scène 1, PLOTINE)
Ah ! Ne l'espérez pas, cette femme fidèle v.126 (Acte 1, scène 1, TRAJAN)
Et le même retour que vous nommez si doux v.155 (Acte 1, scène 2, TRAJANE)
Mais il faut qu'une main belle et sainte comme eux v.171 (Acte 1, scène 2, TRAJAN)
Comme il nous a couverts de son bras salutaire v.181 (Acte 1, scène 2, TRAJAN)
Et comme il est l'auteur de nos félicités, v.183 (Acte 1, scène 2, TRAJAN)
S'est campé devant moi ferme comme un rocher, v.231 (Acte 1, scène 3, PLACIDE)
Ce Dieu qui s'est fait homme afin de nous sauver. v.240 (Acte 1, scène 3, PLACIDE)
Remplissant toutefois de lumière et de flamme v.273 (Acte 1, scène 3, PLACIDE)
Le feu qui vous consomme est venu jusqu'à moi, v.279 (Acte 1, scène 3, TRAJANE)
Détestables auteurs de l'erreur où nous sommes, v.285 (Acte 1, scène 3, TRAJANE)
Ouvrage de l'Enfer et de la main des hommes, v.286 (Acte 1, scène 3, TRAJANE)
Accourez désespoirs, et comme des furies v.309 (Acte 2, scène 1, TYRSIS)
Les restes de ma flamme aux restes de ma vie. v.318 (Acte 2, scène 1, TYRSIS)
Hélas ! Comment tarir mes larmes ni mes plaintes, v.333 (Acte 2, scène 2, TEOPISTE)
Que retournant ainsi d'où nous sommes venus, v.376 (Acte 2, scène 2, TEOPISTE)
Prompt à se dissiper comme prompt à paraître v.381 (Acte 2, scène 2, TEOPISTE)
Le cours de tes soupirs, comme de tes blasphèmes. v.418 (Acte 2, scène 2, EUSTACHE)
Mais cet homme revient. v.461 (Acte 2, scène 3, EUSTACHE)
Retourne déloyal, homme lâche et sans coeur, v.467 (Acte 2, scène 3, EUSTACHE)
Qui sont tout son trésor comme tout son appui. v.551 (Acte 2, scène 4, FLORE)
Comme des Rois, rien ne les importune, v.553 (Acte 2, scène 4, FLORE)
Un seul homme qui fût véritablement homme, v.578 (Acte 2, scène 4, FLORE)
Le tiennent éloigné du commerce du monde. v.666 (Acte 3, scène 3, PLOTINE)
Faisant d'autres malheurs aux flammes succéder v.671 (Acte 3, scène 3, PLOTINE)
Et comme nos frayeurs le péril est passé. v.704 (Acte 3, scène 4, TYRSIS)
Ta flamme continue, et l'objet de la mort v.711 (Acte 3, scène 4, TEOPISTE)
Avant que commencer tes coupables efforts v.739 (Acte 3, scène 4, TEOPISTE)
Dans l'excès de son mal et l'horreur de ta flamme, v.778 (Acte 3, scène 4, TEOPISTE)
L'effet de ta bonté comme de ton amour. v.796 (Acte 3, scène 4, TEOPISTE)
S'ils n'ont comme un Icare appris l'art de voler. v.856 (Acte 3, scène 6, ARBILAN)
Puis-je bien sans commettre une incivilité, v.860 (Acte 3, scène 6, EUSTACHE)
Tu peux nous dire au vrai si certain Gentilhomme v.865 (Acte 3, scène 6, LE MESSAGER)
Suivi de deux enfants et d'une femme aussi. v.868 (Acte 3, scène 6, LE MESSAGER)
Où je suis assuré qu'il n'est point entré d'homme v.873 (Acte 3, scène 6, EUSTACHE)
Puisqu'il consomme tout c'est en lui que j'espère. v.942 (Acte 4, scène 1, TEOPISTE)
Par la flamme et le fer tant d'hommes immolés ? v.992 (Acte 4, scène 2, AMINTOR)
Mais la faire autrement, c'est commettre une injure, v.1009 (Acte 4, scène 2, AMINTOR)
Ce bonhomme me plaît, v.1016 (Acte 4, scène 2, LA FLEUR)
Et dans tout son discours comme sur son visage v.1017 (Acte 4, scène 2, LA FLEUR)
Je n'ai vu que des traits d'un homme de courage. v.1018 (Acte 4, scène 2, LA FLEUR)
Tu devrais commencer, ton âge le demande. v.1033 (Acte 4, scène 2, LA FLEUR)
Le bien qui lui restait en lui volant sa femme. v.1046 (Acte 4, scène 2, LA FLEUR)
A voulu sur mon corps commettre cet outrage. v.1066 (Acte 4, scène 2, LA FORTUNE)
Et ne m'étonne plus si nous sommes unis, v.1080 (Acte 4, scène 2, AGAPITE)
Nous n'en sommes pas loin. v.1085 (Acte 4, scène 2, AGAPITE)
À ce conte on soulait nommer autrement ? v.1104 (Acte 4, scène 3, TEOPISTE)
Comment ? v.1105 (Acte 4, scène 3, TEOPISTE)
Brillant parmi les siens comme un autre Soleil. v.1132 (Acte 4, scène 3, TEOPISTE FILS)
Qui n'avait rien d'humain que la forme d'un homme, v.1154 (Acte 4, scène 4, TEOPISTE)
Ma femme oyant tantôt ce qui m'est arrivé v.1215 (Acte 4, scène 4, AMINTOR)
On ne m'en doit nommer ni l'espoir, ni l'appui. v.1236 (Acte 5, scène 2, EUSTACHE)
Non comme d'un devoir le tribut légitime, v.1238 (Acte 5, scène 2, EUSTACHE)
Mais comme une action par qui votre bonté v.1239 (Acte 5, scène 2, EUSTACHE)
En un mot ces Démons que vous nommes vos Dieux, v.1256 (Acte 5, scène 2, EUSTACHE)
D'âge en âge porté par des hommes constants v.1283 (Acte 5, scène 2, EUSTACHE)
Emmenez-le soldats, et je vais cependant v.1307 (Acte 5, scène 2, ORMOND)
Comment ? v.1317 (Acte 5, scène 3, TEOPISTE)
Et nul homme aujourd'hui n'eût osé le punir. v.1376 (Acte 5, scène 4, PLOTINE)
Punit l'intercesseur comme le criminel. v.1380 (Acte 5, scène 4, PLOTINE)
Elle n'était que glace, elle n'est plus que flamme, v.1394 (Acte 5, scène 4, TEOPISTE)
Je le plains comme vous, v.1407 (Acte 5, scène 5, ORMOND)
Mais pour le punir mieux, si comme je le pense v.1417 (Acte 5, scène 5, ORMOND)
Il semble qu'il conduit mes soldats comme esclaves. v.1426 (Acte 5, scène 6, ORMOND)
Comme lui je l'adore, et me moque des tiens. v.1432 (Acte 5, scène 6, TEOPISTE)
De tant d'hommes punis les funestes exemples v.1438 (Acte 5, scène 6, ORMOND)
Expose-moi vivante aux flammes d'un bûcher, v.1440 (Acte 5, scène 6, TEOPISTE)
Comme ses actions pesez votre devoir. v.1472 (Acte 5, scène 6, TEOPISTE)
Ou comme auteur du mal ou bien comme complice. v.1490 (Acte 5, scène 6, AGAPITE)
Et digne d'être né d'un homme plus heureux ; v.1500 (Acte 5, scène 6, ORMOND)
Commencez les douleurs dont je veux l'affliger. v.1524 (Acte 5, scène 6, ORMOND)
Je commence à mourir me séparant de vous, v.1544 (Acte 5, scène 6, TEOPISTE)
Je te donne mon coeur, et mon corps à ces flammes. v.1570 (Acte 5, scène 6, EUSTACHE)

CLARIMONDE (1643)

Mais comment les souffrir ces pleurs que vous versez, v.7 (Acte 1, scène 1, LYDIANE)
Pourquoi le nommez-vous ? v.18 (Acte 1, scène 1, LYDIANE)
Que ne commettra point sa barbare fureur ? v.23 (Acte 1, scène 1, CLARIMONDE)
Que ne faut-il pas craindre en l'état où nous sommes ? v.29 (Acte 1, scène 1, CLARIMONDE)
Crois que ce Roi d'Alger, le plus méchant des hommes, v.30 (Acte 1, scène 1, CLARIMONDE)
Les Maximes d'État, et celles de sa flamme ; v.58 (Acte 1, scène 1, CLARIMONDE)
Mais sans vous consommer en regrets superflus v.91 (Acte 1, scène 2, MÉLIDOR)
Les marques de ma flamme et de votre pouvoir, v.96 (Acte 1, scène 2, M?LIDOR)
Emmenez-le soldats et qu'on le garde bien, v.163 (Acte 1, scène 3, ALMAZAN)
Vous avez commencé de tenter les hasards, v.199 (Acte 1, scène 3, ALCANDRE)
Ne me laisse exhaler ma flamme qu'à demi v.212 (Acte 1, scène 3, ALCANDRE)
Nous sommes deux captifs sous divers liens, v.215 (Acte 1, scène 3, ALCANDRE)
Alluma dans mon coeur une flamme innocente, v.246 (Acte 1, scène 3, ALCANDRE)
Pour ne commettre pas une impudence extrême, v.254 (Acte 1, scène 3, ALCANDRE)
Esclave comme elle est te pouvoir posséder, v.263 (Acte 1, scène 3, ALMAZAN)
Sachez que Clarimonde esclave comme elle est v.299 (Acte 1, scène 3, ALMAZAN)
N'user pas comme il faut, blesse votre couronne, v.306 (Acte 1, scène 3, MÉLIDOR)
Ta valeur m'est connue aussi bien que ta flamme, v.390 (Acte 2, scène 1, CLARIMONDE)
Bénira notre hymen comme nos destinées, v.394 (Acte 2, scène 1, CLARIMONDE)
Donne-lui de ta flamme une marque bien forte, v.397 (Acte 2, scène 1, CLARIMONDE)
Si j'ose vous nommer l'auteur de mes ennuis, v.452 (Acte 2, scène 2, ALCANDRE)
Et te faisant l'honneur de t'accepter pour femme, v.470 (Acte 2, scène 2, ALMAZAN)
Qui donnant de sa flamme une superbe marque, v.482 (Acte 2, scène 2, CLARIMONDE)
Nous sommes au-dessus des serments et des lois. v.496 (Acte 2, scène 2, ALMAZAN)
Je tiens comme ton corps ta volonté captive, v.501 (Acte 2, scène 2, ALMAZAN)
Il vous faut comme aux Dieux, faire des sacrifices, v.506 (Acte 2, scène 2, CLARIMONDE)
Si ma flamme une fois se convertit en rage, v.518 (Acte 2, scène 2, ALMAZAN)
Que fer, flammes, cordeaux, précipice, et poison. v.560 (Acte 2, scène 2, ALCANDRE)
Ma flamme à ma valeur demande cet effort ; v.571 (Acte 2, scène 3, MÉLIDOR)
Quelque faible chaleur d'une pareille flamme, v.658 (Acte 3, scène 2, ALMAZAN)
L'ingrate dont l'orgueil m'attaque insolemment v.683 (Acte 3, scène 2, ALMAZAN)
Quelque noble dessein les pousse et les enflamme. v.705 (Acte 3, scène 2, ALMAZAN)
Nomme cet impudent afin qu'un trait de foudre, v.733 (Acte 3, scène 3, ALMAZAN)
Sans mourir à ses yeux comme sans la venger. v.808 (Acte 3, scène 5, ALCANDRE)
Comme elle est mon désir, elle est mon espérance, v.810 (Acte 3, scène 5, CLARIMONDE)
Dans la flamme et le fer on me verra courir, v.831 (Acte 3, scène 5, ALCANDRE)
Me nomme courageuse, hélas ! Mais inhumaine. v.850 (Acte 3, scène 5, CLARIMONDE)
J'ai connu sa fureur, comme toi son mépris, v.876 (Acte 3, scène 5, CLARIMONDE)
La main qui les détruit commet des sacrilèges ; v.902 (Acte 3, scène 5, ALCANDRE)
S'attaque insolemment à l'image des Dieux. v.904 (Acte 3, scène 5, ALCANDRE)
Arrête Alcandre et pardonne à ma flamme, v.917 (Acte 3, scène 5, CLARIMONDE)
Et garde que ta main ne commette un forfait, v.923 (Acte 3, scène 5, CLARIMONDE)
L'illustre pureté de ta flamme première, v.946 (Acte 3, scène 5, CLARIMONDE)
Demande à vos bontés comme à votre justice v.989 (Acte 4, scène 2, MÉLIDOR)
Il n'a pu comme lui déguiser son péché. v.1000 (Acte 4, scène 2, MÉLIDOR)
Et j'aurais mérité les flammes que vomit v.1011 (Acte 4, scène 2, ALCANDRE)
Si comme vos faveurs mon espoir diminue, v.1034 (Acte 4, scène 2, ALCANDRE)
Et comme ses appas sont l'objet de mes voeux, v.1076 (Acte 4, scène 2, MÉLIDOR)
Que ma flamme céda à la flamme d'Alcandre, v.1154 (Acte 4, scène 3, ALMAZAN)
Et c'est insolemment de ma grâce abuser, v.1171 (Acte 4, scène 3, ALMAZAN)
De souffrir la loi que ma flamme t'impose. v.1177 (Acte 4, scène 3, ALMAZAN)
Si comme leur salut ma passion te touche, v.1190 (Acte 4, scène 3, ALMAZAN)
Par des soupirs de flamme Alcandre me conjure v.1209 (Acte 4, scène 3, CLARIMONDE)
D'un homme déjà mort la dépouille vivante. v.1242 (Acte 4, scène 5, ALCANDRE)
Vous donniez à sa flamme ou bien à son courroux, v.1247 (Acte 4, scène 5, ALCANDRE)
Triomphe insolemment de notre liberté. v.1264 (Acte 4, scène 5, CLARIMONDE)
Devoir, Nature, honneur, foi, services et flamme, v.1290 (Acte 4, scène 5, CLARIMONDE)
Dans l'excès de ma flamme, et de mon désespoir, v.1307 (Acte 4, scène 5, CLARIMONDE)
Peut assouvir ma flamme et mon ambition. v.1356 (Acte 5, scène 1, ALMAZAN)
Et suis prêt comme vous de jurer une paix, v.1363 (Acte 5, scène 1, SOLIMONT)
Ils viennent s'éjouir d'avoir brisé vos chaînes. On le regarde comme nouveau. v.1389 (Acte 5, scène 1, ALMAZAN)
Ah c'est trop soupiré, commencez à juger, v.1415 (Acte 5, scène 2, ALMAZAN)
La flamme et le poison finiront mes supplices. v.1486 (Acte 5, scène 2, CLARIMONDE)
Verra vivre sa flamme, et mourir l'univers. v.1544 (Acte 5, scène 3, CLARIMONDE)
Si ma flamme chez vous trouve encore quelque grâce, v.1569 (Acte 5, scène 3, ALCANDRE)
Que comme ta présence était toute ma vie, v.1599 (Acte 5, scène 3, CLARIMONDE)
Comment ? v.1602 (Acte 5, scène 4, CLARIMONDE)
Solimont comme lui ne s'attend qu'à mourir, v.1612 (Acte 5, scène 4, LYDIANE)
D'avoir fait une injure à sa pudique flamme. v.1686 (Acte 5, scène 7, ALMAZAN)

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LE PRINCE FUGITIF (1649)

J'en ai vu jusqu'aux Cieux les flammes s'élever. v.3 (Acte 1, scène 1, CLYTON)
Parmi les Gentilshommes v.41 (Acte 1, scène 1, PHILOXANDRE)
Qui composent l'éclat de la Cour où nous sommes, v.42 (Acte 1, scène 1, PHILOXANDRE)
De passer près de lui pour homme de courage, v.46 (Acte 1, scène 1, PHILOXANDRE)
Comme il est au-dessus des biens et de la vie v.66 (Acte 1, scène 2, ALCESTE)
Sire, si j'ai failli ma flamme a fait mon crime, v.77 (Acte 1, scène , ORPHISE)
Flatté comme je suis d'un espoir légitime, v.78 (Acte 1, scène , ORPHISE)
Je fais comme un torrent qui se plaît à briser v.79 (Acte 1, scène , ORPHISE)
Glorieux comme il est des triomphes passés, v.99 (Acte 1, scène 4, ARCHESTRATE)
Comme elle est mon désir, elle est mon espérance. v.206 (Acte 1, scène 4, ALCESTE)
Comme leur passion leur recherche m'irrite, v.338 (Acte 2, scène 1, ARCHESTRATE)
Ses discours relevés comme ses actions v.355 (Acte 2, scène 1, ARCHESTRATE)
Instruit comme je crois dans l'école des Princes, v.357 (Acte 2, scène 1, ARCHESTRATE)
De ses mâts abattus et brisés comme verre, v.402 (Acte 2, scène 2, CLYTON)
Enfin, comme son corps, le corps de son armée v.421 (Acte 2, scène 3, PHILOXANDRE)
Rendre comme vos yeux votre âme satisfaite. v.446 (Acte 2, scène 3, PHILOXANDRE)
De m'attacher à lui, d'être comme son ombre, v.461 (Acte 2, scène 3, PHILOXANDRE)
J'y rêve comme vous, mais plus je me consomme v.565 (Acte 3, scène 1, ALCESTE)
À chercher un Héros pareil à ce grand homme, v.566 (Acte 3, scène 1, ALCESTE)
Comme nous les États ont chacun leur Génie v.570 (Acte 3, scène 1, ORPHISE)
La haine qui naissait de notre seule flamme, v.582 (Acte 3, scène 1, ORPHISE)
Aucun ressentiment de ma discrète flamme. v.598 (Acte 3, scène 1, ALCESTE)
Sa vertu m'est connue, extrême comme elle est, v.711 (Acte 3, scène 4, ORPHISE)
Nomme quel fut le bras qui leur ôta la vie. v.763 (Acte 3, scène 4, PHILOXANDRE)
Comment ? v.788 (Acte 3, scène 5, ARCHESTRATE)
Nomme duquel des deux je serai le butin, v.868 (Acte 3, scène 5, ARCHESTRATE)
Que vous pourriez guérir de cette injuste flamme. v.887 (Acte 4, scène 1, LUCINDE)
Emprunter pour une heure ou ma flamme ou mes yeux, v.897 (Acte 4, scène 1, ARCHESTRATE)
Je lis dans ses regards et sa flamme et sa crainte, v.910 (Acte 4, scène 1, ARCHESTRATE)
D'un homme condamné que l'on traîne à la mort. v.917 (Acte 4, scène 1, ARCHESTRATE)
Comme elle est dans ce choix la plus intéressée, v.991 (Acte 4, scène 3, PHILOXANDRE)
Comme moi la Princesse a suivi ton conseil. v.997 (Acte 4, scène 3, LE ROI)
N'a jamais allumé de plus puissante flamme, v.1055 (Acte 4, scène 3, PHILOXANDRE)
Brûler comme tu fais, d'une flamme secrète, v.1070 (Acte 4, scène 3, LE ROI)
Commence. v.1081 (Acte 4, scène 3, LE ROI)
Traite comme il lui plaît une naissance obscure. v.1083 (Acte 4, scène 3, PHILOXANDRE)
Le monde est un théâtre où chacun comme moi v.1092 (Acte 4, scène 3, PHILOXANDRE)
Vous connaissez la flamme et l'amour impudique v.1094 (Acte 4, scène 3, PHILOXANDRE)
Ont connu comme moi le Tyran qui me dompte, v.1199 (Acte 6, scène 2, ARCHESTRATE)
S'affranchisse du joug de cette indigne flamme, v.1243 (Acte 6, scène 3, LE ROI)
Séparés comme ils sont du commerce du monde v.1294 (Acte 6, scène , ALCESTE)
J'aime, ah ! Vous le savez ce courroux qui s'enflamme, v.1357 (Acte 6, scène 5, PHILOXANDRE)
Ah ! Lucinde, ma joie et ma flamme redoublent. v.1393 (Acte 6, scène 5, ARCHESTRATE)
Pour avoir découvert et sa flamme et son crime v.1409 (Acte 6, scène , ACANTE)
Je t'apprendrai comment. v.1432 (Acte 6, scène , APOLLONIE)

LA CLORISE (1634)

Il tient comme en des fers ce monstre de fortune v.6 (Acte 1, scène , PHÉDON)
Élevé comme moi dans la Cour de nos Rois, v.28 (Acte 1, scène , PHÉDON)
Par ainsi loin du corps comme du souvenir. v.35 (Acte 1, scène , PHÉDON)
Comme nos volontés unir notre famille. v.70 (Acte 1, scène , NICANDRE)
Éraste n'aura donc que Clorise pour femme. v.74 (Acte 1, scène , NICANDRE)
Et réciproquement je jure comme vous v.75 (Acte 1, scène , PHÉDON)
Tournes comme il te plaît le destin des humains v.84 (Acte 1, scène , NICANDRE)
Comme un Astre qui vient t'annoncer un beau jour v.88 (Acte 1, scène , NICANDRE)
Et comment ? v.137 (Acte 1, scène , ALIDOR)
Mais si pour moi Clorise avait autant de flamme, v.142 (Acte 1, scène , PHILIDAN)
À goûter le sommeil, car de trois nuits entières v.173 (Acte 1, scène , ALIDOR)
Dieux faites-moi dormir d'un sommeil éternel. v.176 (Acte 1, scène , ALIDOR)
Étouffera ma flamme au point de sa naissance, v.182 (Acte 1, scène , ÉLIANTE)
De sorte qu'impuissante à lui montrer ma flamme v.193 (Acte 1, scène , ?LIANTE)
Dis comme tu veux que je meure v.222 (Acte 1, scène , ?LIANTE)
Ton coeur est allumé d'une flamme visible, v.230 (Acte 1, scène , ?LIANTE)
Mais n'aperçois-je pas un Berger qui sommeille ? v.249 (Acte 1, scène , ?LIANTE)
De nommer le sommeil l'image de la mort. v.252 (Acte 1, scène , ?LIANTE)
Comme au Soleil se perd une faible vapeur. v.284 (Acte 1, scène , ALIDOR)
Car je sais qu'un esprit blessé comme le tien v.288 (Acte 1, scène , ÉLIANTE)
Une jeune beauté que j'aime comme moi v.295 (Acte 1, scène , ÉLIANTE)
Se peut-elle nommer ? v.299 (Acte 1, scène , ALIDOR)
Et dans ces yeux, Amour règne comme un vainqueur. v.307 (Acte 1, scène , ALIDOR)
Nomme-moi si tu veux criminelle insolente v.314 (Acte 1, scène , ÉLIANTE)
Et ne démens jamais ta flamme ni ta main. v.328 (Acte 1, scène , ÉLIANTE)
Et bien n'ai-je pas droit de te nommer parjure ? v.330 (Acte 1, scène , ÉLIANTE)
Sous comme la saison incapable de glace, v.334 (Acte 1, scène , ÉLIANTE)
Tu veux donc comme moi manquer à ton devoir ? v.340 (Acte 1, scène , ÉLIANTE)
La loi de mon devoir veut que ma flamme dure v.341 (Acte 1, scène , ALIDOR)
Et la loi d'un Tyran barbare comme toi, v.343 (Acte 1, scène , ÉLIANTE)
Ennemi de ma flamme impiteux adversaire, v.354 (Acte 1, scène , ÉLIANTE)
Quelle injure ai-je fait à sa flamme déçue, v.361 (Acte 1, scène , PHILIDAN)
Qui te plais d'opposer mon devoir à mes flammes, v.374 (Acte 2, scène , CLORISE)
Je puisse dire un mal comme le ressentir ? v.376 (Acte 2, scène , CLORISE)
Il nomme les Lyons moins farouches que vous. v.428 (Acte 2, scène , PHILIDAN)
Proprement c'est mourir que vivre comme lui. v.444 (Acte 2, scène , PHILIDAN)
L'homme à ce qu'on m'a dit est un traître Animal ; v.540 (Acte 2, scène , CLORISE)
Mais l'homme généreux dépouillé de malice v.545 (Acte 2, scène , ALIDOR)
Et laissez-vous toucher aux flammes dont je brûle. v.574 (Acte 2, scène , ALIDOR)
Elle commence à lire. v.578 (Acte 2, scène , CLORISE)
Que ton consentement à ma flamme soit joint ? v.596 (Acte 2, scène , ÉLIANTE)
Je perdrai le nom d'homme, et celui de Berger. v.604 (Acte 2, scène , ALIDOR)
Non, je dis qu'ayant pu ma compagne enflammer, v.607 (Acte 2, scène , CLORISE)
Ingrate, s'il est vrai que mes flammes plus vives v.613 (Acte 2, scène , PHILIDAN)
Comme quoi chéris-tu Clorise ? v.620 (Acte 2, scène , CLORISE)
Comme elle triomphez de mes malheurs passés, v.735 (Acte 3, scène , ALIDOR)
Laisse durer ma flamme au milieu de ton eau. v.744 (Acte 3, scène , ALIDOR)
Et que pour obliger notre commune flamme v.885 (Acte 3, scène , CLORISE)
Ton nom s'y voit écrit en des lettres de flamme, v.914 (Acte 3, scène , CLORISE)
Que n'a fait jusqu'ici le Temps ni votre flamme v.966 (Acte 3, scène , ALIDOR)
Mette en même degré mon devoir, et ma flamme, v.986 (Acte 3, scène , CLORISE)
J'en dis trop Alidor pour le siècle où nous sommes, v.989 (Acte 3, scène , CLORISE)
Où l'Art de conserver la liberté des hommes v.990 (Acte 3, scène , CLORISE)
Que le Ciel ennemi commence à me punir : v.996 (Acte 3, scène , ALIDOR)
Mon esprit a paru comme désespéré, v.1036 (Acte 3, scène , ÉLIANTE)
Nous font comme il leur plaît heureux ou misérables. v.1054 (Acte 3, scène , ALIDOR)
Nos ruisseaux produiront une source de flamme. v.1058 (Acte 3, scène , ÉLIANTE)
Comme toi le Soleil échauffe tout le monde, v.1077 (Acte 4, scène , PHILIDAN)
Il porte comme toi la chevelure blonde, v.1078 (Acte 4, scène , PHILIDAN)
Le jour lui doit sa fin et son commencement, v.1079 (Acte 4, scène , PHILIDAN)
Elle est parfaite comme toi. v.1099 (Acte 4, scène , PHILIDAN)
Le temps éteindra cette flamme. v.1106 (Acte 4, scène , ÉLIANTE)
N'est pas, comme le corps, d'une essence mortelle, v.1179 (Acte 4, scène , CLORISE)
Comme à ceux qui sont prêts de m'ouvrir un cercueil. v.1205 (Acte 4, scène , CLORISE)
Comme de mes vieux ans l'espérance et l'appui. v.1209 (Acte 4, scène , PHÉDON)
Si ceux qui comme vous sont absolus sur moi v.1232 (Acte 4, scène , ÉRASTE)
Comme le plus grand bien qui pouvait m'advenir. v.1285 (Acte 4, scène , ÉRASTE)
Ce soir même il en faut consommer l'hyménée, v.1286 (Acte 4, scène , PHÉDON)
Serait vraiment commettre un trait de lâcheté. v.1435 (Acte 5, scène , ALIDOR)
Étouffe en ma faveur leurs flammes homicides. v.1453 (Acte 5, scène , ALIDOR)
Comme à moi, vous impose un silence éternel : v.1459 (Acte 5, scène , ALIDOR)
Si l'on nomme la mort la fin de toutes choses, v.1505 (Acte 5, scène , CLORISE)
Je ne le pense pas, car je sais que ma flamme v.1508 (Acte 5, scène , ALIDOR)
Car s'il est vrai qu'Amour, comme tu viens de dire, v.1512 (Acte 5, scène , CLORISE)
Et bien que ce Rival te dérobe une femme, v.1528 (Acte 5, scène , CLORISE)
Il soit quelque tourment comme ceux que je souffre. v.1541 (Acte 5, scène , ALIDOR)
Que l'approche du Dieu qui verse le sommeil, v.1543 (Acte 5, scène , ALIDOR)
Notre heur doit commencer et le jour va finir. v.1587 (Acte 5, scène , ÉRASTE)
Qui sépare sa fin de son commencement : v.1615 (Acte 5, scène , ALIDOR)
Et donnant à sa flamme un glorieux obstacle v.1636 (Acte 5, scène , ALIDOR)
À peine le Soleil commence à se cacher, v.1639 (Acte 5, scène , ALIDOR)
Voyez comme accablé du regret qui l'afflige v.1661 (Acte 5, scène , PHILIDAN)
Il gît nonchalamment dessus l'herbe étendu. v.1662 (Acte 5, scène , PHILIDAN)
Que la nuit y commence avec ton Mariage v.1717 (Acte 5, scène , ÉRASTE)
Nous sommes le sujet de leur impatience. v.1732 (Acte 5, scène , ÉRASTE)
Vous allez augmentant mon amoureuse flamme v.1757 (Acte 5, scène , ALIDOR)

CÃ‰LINDE (1629)

Mon amour est trahie, ce choeur de musique découvre le coeur de Floridan, et ses voeux comme sa chanson s'adressent à Célinde. (Acte 1, scène 1, PARTHÉNICE)
Barbare demande-le à ta conscience, en elle seule tu trouveras le crime, les supplices et les bourreaux, non non, comme tu ne peux ignorer ton offense, tu ne devais pas douter de mon ressentiment, et cette âme que tu as idolâtrée durant deux années, n'a pas appris à commettre des lâchetés jusqu'au point de souffrir cette infidélité dont tu vas noircir les meilleures actions de ta vie. (Acte 1, scène 1, PARTHÉNICE)
Ne crois pas toutefois que ces plaintes que je donne à la rigueur de ton changement, naissent en moi du dessein de m'opposer au contentement de Célinde, ni du regret de perdre un captif qui a fait des efforts pour sortir de sa prison ; fais si tu veux que cette Aurore qui semble rougir de mon déguisement, ou plutôt de ton inconstance, compte sur la bouche de Céphale, les baisers que tu as cueillis sur les leurres de celle qui te possède maintenant, oblige la renommée à reprendre pour l'amour d'elle le premier usage de ses ailes et de sa voix, afin qu'elle apprenne à tout le monde, qu'il n'est point d'homme plus heureux que Floridan, ni de beauté plus aimée que Célinde, tout cela ne sera pas une matière à nourrir le feu de ma fureur ; mais veux-tu connaître ce qui rend ma douleur incapable de remède, hélas ! (Acte 1, scène 1, PARTH?NICE)
Cruel, si l'oubli n'eût alors régné dans ton âme, tu eusses fait combattre ton amour contre ton devoir, et puisque tu ne pouvais éviter d'obéir au commandement qui te forçait de devenir la moitié d'une femme, tu eusses parlé de Parthénice à celle qui peut-être ne te proposa Célinde qu'à faute de se souvenir de moi. (Acte 1, scène 1, PARTHÉNICE)
Or mon fils, ajouta-t-elle, tu n'ignores pas ce que peut aujourd'hui ce métal, cet Or que les hommes ont été cherché jusques dans les entrailles de la terre ; tu sais qu'en ce Siècle perverti on ne fait état que de ceux qui se vantent d'un nombre de trésors amassés, et que le plus honnête homme du monde paraîtrait sot sous le visage de la pauvreté : l'Or ouvre des portes qui résisteraient à la foudre des canons, et enfin il a le pouvoir, tant notre imagination en est blessée, de faire quelquefois asseoir des bêtes dans le trône même des Dieux : c'est pour cela que je te conseille de suivre la maladie du temps, et de prendre plutôt Célinde riche, que Parthénice, avecque peu de biens. (Acte 1, scène 1, FLORIDAN)
Quoi, ces caresses que tu soulais nommer le doux entretien de ta vie, et que désormais je nommerai la triste cause de ma mort, seront-elles absolument bannies de ta mémoire, aussi bien que tes promesses et tes serments ? (Acte 1, scène 1, PARTHÉNICE)
Toi-même, qui ne pourras éviter de jeter quelquefois les yeux sur celles que ta méfiance a exigées de mon affection, comment ne t'étonneras-tu point de voir éteints dans ton âme tous les feux qu'elles y avaient allumés ? (Acte 1, scène 1, PARTH?NICE)
Madame, je ne doute pas que votre amour ne condamne mon obéissance, mais il n'arrivera jamais qu'à faute d'obéir, ma mère ait droit d'accuser mon amour ; je dis cette vérité avecque regret, car sans être le plus ingrat de tous les hommes, je ne saurais nier que je ne doive beaucoup aux honnêtes libertés dont votre amitié m'a permis de jouir : mais belle Parthénice, si vous croyez que je vous sois extrêmement obligé pour avoir nourri de quelques faveurs le repos de ma vie, jugez ce que je ne dois point à celle sans qui je n'eusse jamais vu ni Parthénice ni le jour. (Acte 1, scène 1, FLORIDAN)
Et bien, puisque tu manques de courage comme d'amour, et qu'au lieu que je soulais voir en toi toutes choses en leur perfection, je n'y remarque aujourd'hui que des défauts, rends-moi, rends-moi cette épée ; permets que je donne à ta tromperie la dépouille de ce corps qui n'a plus d'âme, depuis qu'il ne possède plus Floridan. (Acte 1, scène 1, PARTHÉNICE)
Mais puisqu'il m'est permis d'user envers vous du droit des vainqueurs, je vais appendre cette épée sur un Autel consacré à l'Amour : que si l'on entreprend de vous faire quelque outrage, servez-vous de ce que la nature a donné si avantageusement à votre sexe, qui n'a besoin pour assujettir les hommes, d'employer d'autres armes que celles de ses yeux. (Acte 1, scène 1, FLORIDAN)
Comme il n'a plus d'yeux pour voir mes ennuis, il n'a plus d'oreilles pour ouïr mes plaintes : et ce parjure a voulu ajouter à la qualité d'insensible, celle de ne pouvoir être vu. (Acte 1, scène 1, PARTHÉNICE)
N'est-ce point que me l'ayant tant de fois ouï nommer insensible, tu as désespéré de le pouvoir toucher ? (Acte 1, scène 1, PARTH?NICE)
Ni de feu, puisque je brûle encore d'une flamme qui ne se peut éteindre. (Acte 1, scène 1, PARTH?NICE)
Vous avez raison, Madame, comme on ne saurait trop tard exécuter un mauvais dessein ; aussi ne saurait-on jamais trop tôt faire une bonne action : par là vous pouvez juger, que tant s'en faut que je doive me plaindre du sujet qui vous a donné le soin de me visiter ce matin, qu'au contraire j'en demeure votre obligé, comme du plus grand bien que vous me pouviez procurer. (Acte 1, scène 2, AMINTOR)
Mais ce point de méditation a quelque chose de commun avec le dessein qui m'amène, d'autant mieux que même par les lois, les pères étant censés être une même personne avecque leurs enfants, il semble que nous ne mourons point quand nous laissons après nous quelqu'un, dans l'être duquel nous allons comme confondant et perpétuant le nôtre. (Acte 1, scène 2, DORICE)
Vaine crainte sans doute, et pardonnez-moi si je la nomme ridicule. (Acte 1, scène 2, AMINTOR)
Outre que si cette peste (telle puis-je nommer cette inclination, qui dérobe de l'esprit d'une fille le respect qu'elle doit à ses parents) si cette peste, dis-je, l'avait infectée de son venin mortel, je jure que j'userais du pouvoir que la nature me donne, et qu'employant la force, où les autres moyens me défaudraient, je saurais bien appliquer un remède à la folie. (Acte 1, scène 2, AMINTOR)
Comme il ne faut jamais douter du jour quand le Soleil est levé, la raison de cela c'est que comme il est impossible que la nuit et le Soleil puissent compatir ensemble, aussi ne voit-on jamais qu'une fille bien née soit capable d'autres inclinations que de celles que lui doivent prescrire ceux de qui elle dépend. (Acte 1, scène 2, AMINTOR)
Croyez-moi, Dorice, si les pères avaient relâché de leur sévérité sur ce point-là, on verrait d'extrêmes désordres dans les familles ; d'autant mieux que le premier frisé, le premier poudré, qui donnerait dans la vue d'une fille, en ferait presque aussitôt sa femme que sa Maîtresse. (Acte 1, scène 2, AMINTOR)
Pensez-vous qu'une fille qui ne doit savoir distinguer les sexes que par les habits, puisse juger si sous un manteau couvert d'or et de soie, un homme ne porte point cachée l'image de la pauvreté ? (Acte 1, scène 2, AMINTOR)
Sage Dorice, vous savez mieux que moi de quel humeur est cet animal que la Nature a fait homme, et que l'Art a fait Courtisan : que si ce que vous dites avait lieu, je ne pense pas qu'il y eût une fille si retirée dont il ne triomphât, et qui ne servît d'objet à son ambition, et à sa vanité. (Acte 1, scène 2, AMINTOR)
Je ne voudrais pas qu'on laissât courir une fille à un évident péril, comme je ne voudrais pas qu'on lui défendît un bien apparent : en cela je consulterais sa volonté comme un Oracle nécessaire, après quoi je ferais intervenir mon jugement ; et le laissant neutre entre elle et moi, je lui en ferais prononcer l'arrêt selon la raison, non pas selon sa passion ni la mienne. (Acte 1, scène 2, DORICE)
Il assemble donc quelques-uns de ses amis, et un jour que Parthénopé était allée avec une de ses tantes visiter une maison qu'elle avait aux champs, il l'enlève ; et l'ayant conduite dans un château qu'il avait assez près de là, il l'épouse par force, et par force jouit de toutes les faveurs qui sous les noms de femme et de mari ne peuvent légitimement être refusées. (Acte 1, scène 2, AMINTOR)
En ce temps-là Parthénopé était arrivée dans son neuvième mois, de sorte que par une rencontre presque miraculeuse, elle mit un fils au monde le jour même que le père en devait sortir ; et à peine cette petite créature eut vu la clarté, que son intérêt faisant un effort sur l'esprit de la mère, elle commença de craindre qu'il y eût de l'infamie pour lui, si on venait à lui reprocher d'être sorti d'un père que l'ignominie aurait accompagné en la mort. (Acte 1, scène 2, AMINTOR)
Votre parti, comme le plus juste sans doute, sera toujours le plus fort : et pour moi je sais bien qu'il ne sera jamais de considération assez puissante pour me faire faillir contre l'obéissance que je vous dois. (Acte 1, scène 3, CÉLINDE)
Salue donc cette Dame, et regarde-là, non pas comme les personnes qu'on estime seulement, mais comme celles à qui on appartient, car pour ne t'amuser pas davantage Floridan son fils sera ton mari. (Acte 1, scène 3, AMINTOR)
Arrache à Jupiter la plus pesante de ses foudres, et réduis en poudre ce corps : mais non, il suffit de tes flammes, elles sont capables de me consommer. (Acte 1, scène 3, CÉLINDE)
Au contraire, l'Amour est l'âme et le soutien du monde, nécessaire à la vie comme les Éléments. (Acte 2, scène 1, LUCIDOR)
Sans lui, qui nous sert de Soleil, nos jours ont un faux nom, et doivent plutôt être appelés des nuits et des ténèbres éternelles : ses ennemis sont les tyrans et les monstres, et nul homme qui fasse état de la société humaine, ne condamnera cette passion qui en est l'unique entretien, et la mère nourrice. (Acte 2, scène 1, LUCIDOR)
Non non, crois plutôt que le feu dont il brûle nos coeurs, vient d'un flambeau qui ne donne sa lumière que pour régler les plus belles actions de notre vie ; et que de même que l'homme est Roi des animaux, pour ce qu'il est capable de raison, celui doit être Roi des hommes qui est plus capable d'amour. (Acte 2, scène 1, LUCIDOR)
Quand j'ai commencé de soutenir contre vous combien cette passion est dangereuse, j'en ai moins considéré la cause que les effets ; mais sans nous amuser plus longtemps en cette dispute inutile, dites-moi seulement quel nom vous pouvez donner à ses éternelles inquiétudes qui accompagnent l'esprit d'un homme véritablement amoureux : si le manger est une chose nécessaire à la conservation de l'Être ; si le dormir est un repos accordé par la Nature pour le soulagement de tout ce qu'elle a créé, appellerez-vous un bien ce qui détruit le goût, et empêche le sommeil ? (Acte 2, scène 1, PHILINDRE)
Jalousie, d'autant plus à craindre, qu'elle change de visage à toutes choses ; et que faisant passer jusqu'à nos corps l'aveuglement de notre âme, elle nous fait bien souvent condamner comme un crime les plus innocentes actions. (Acte 2, scène 1, PHILINDRE)
Les autres qui n'ont que le plaisir pour objet de leur flamme trouvent la fin de leur amour dans la fin de la volupté ; et s'imaginant que les faveurs dont ils se sont assouvis, peuvent être communiquées à quelque autre aussi facilement qu'elles ont été obtenues, ils entrent dans les fureurs de la Jalousie, et ne laissent pas même à la personne aimée la liberté des regards. (Acte 2, scène 1, LUCIDOR)
Mais ceux qui aiment purement pour la vertu, ne se lassent jamais d'aimer ; l'objet de leur passion est beaucoup au-dessus de toutes les autres causes : et comme il est louable et légitime parfaitement, aussi ne produit-il jamais de mauvais effets en nos âmes. (Acte 2, scène 1, LUCIDOR)
En effet tu reconnais aussi bien que moi les bonnes qualités qu'elle possède, tu sais qu'elle est belle jusqu'au point de ne pouvoir être vue d'un homme sans me faire incontinent un rival ; et cependant, oublieuse en ma faveur de l'excès de ses mérites, comme je prends plaisir de la voir triompher de mes désirs, elle est bien aise que je me vante d'être Roi de ses pensées. (Acte 2, scène 1, LUCIDOR)
Je t'avoue, Philindre, que mon bonheur est extrême comme sa beauté, et qu'il est aussi bien au-dessus de mes espérances, que je suis au-dessus de mes rivaux : je reconnais ma fortune, et ne doute pas que je ne sois punissable dans la vanité que j'en ai devant toi ; mais puisque celle qui fait mes destinées consent que je ne te cache rien, jette, je te supplie, les yeux sur ce papier, et tu verras si j'ai mal décrit l'état présent de ma vie. (Acte 2, scène 1, LUCIDOR)
Cet Oracle que tu viens consulter est le même qui depuis une heure a prononcé contre toi un arrêt plus rude que mille morts ; et cette pâleur que tu remarques en moi, est bien un témoignage de ma douleur, mais elle est aussi une preuve de ma défaite : car pour ne retenir pas davantage ton esprit en suspens, je te dirai que je viens de rendre un combat, où au lieu de sang j'ai versé une infinité de larmes : j'avais pour partie et pour ennemi celui qui est mon tout, et que la Nature m'ordonne de chérir par-dessus tout le reste des hommes. (Acte 2, scène 2, CÉLINDE)
Comment, Madame, Floridan usurpe sur moi la gloire de vous posséder ? (Acte 2, scène 2, LUCIDOR)
Cependant, Madame, permettez à ma juste douleur de vous accuser en ce changement du crime le plus punissable qui ait été commis depuis qu'Amour règne dessus les coeurs : souffrez que je reproche à votre foi violée tant de serments dont vous protestiez que l'effet serait infaillible comme celui de la fatalité : vous m'avez quitté, Célinde, et un injurieux oubli a pu glacer cette âme que mon exemple devait faire éternellement brûler. (Acte 2, scène 2, LUCIDOR)
Condamne leur tyrannie, appelle-les barbares, mais laisse-moi le nom d'innocente comme j'en ai la qualité ; et souviens-toi que si je pouvais guérir ta peine sans blesser ma réputation, je le ferais au péril même de ma vie : mais enfin pour ce malheur je ne connais point de remède, et ce qui rend ma condition plus déplorable, c'est qu'en l'état où je suis-je n'ose pas seulement le rechercher. (Acte 2, scène 2, CÉLINDE)
Donc pour ne porter pas les effets de ma rage plus loin que leur cause, et pour commencer d'assouvir la haine que le Ciel a pour moi, voici un papier où j'avais peint mes triomphes d'une encre désormais aussi noire que ma fortune ; mais puisque l'espérance dont je m'étais flatté ne subsiste plus, et que ce dernier accident me met dans l'âme un Vautour qui la déchire, il aura le même sort, (Acte 2, scène 2, LUCIDOR)
Je te la donne de nouveau, non plus avecque réserve, mais sans nulle sorte d'exception ; c'est un effet de ma pitié, et si l'on me condamne de quoi pour suivre l'Amour je quitte l'obéissance que je dois à mon père, qu'on sache que m'y sens forcée par une puissance que je ne connais point, et que la loi d'un Dieu doit être plus forte que celle d'un homme. (Acte 2, scène 2, CÉLINDE)
Que ne pouvez-vous être réunis comme nous le sommes Célinde et moi, chers papiers, Madame. (Acte 2, scène 2, LUCIDOR)
Ne passe pas plus outre ni en la demande ni en l'effet, pour ne me donner pas la peine, et peut-être le déplaisir de te refuser ; si tu commences à faillir, ton outrecuidance me dispensera de mes promesses. (Acte 2, scène 2, CÉLINDE)
Comment, la ville est-elle déjà imbue de la vanité de Floridan. (Acte 2, scène 3, CÉLINDE)
Puisque la connaissance que vous avez de mes affaires, me fait juger inutile de vous en taire les particularités, je vous dirai, chère Parthénice, que je reçois Floridan comme un homme, qui fortifié de l'autorité de mon père, veut emporter par force une place qui ne se doit rendre que par amour. (Acte 2, scène 3, CÉLINDE)
Si Floridan pouvait lire dans mon coeur, qu'il y verrait bien d'autres passions décrites, il reconnaîtrait que cette estime que j'avais pour lui au temps qu'il ne me regardait qu'indifféremment, s'est changée en une haine si forte, depuis qu'il montre avoir de l'amour pour moi, que je ne pense pas qu'à son alliance je ne préférasse celle d'un Monstre ou d'un Barbare : ce n'est pas qu'il ne vaille beaucoup, mais un secret destin veut que cela même, d'où une autre tirerait de la gloire, me soit une matière de mécontentement. (Acte 2, scène 3, CÉLINDE)
Je vous dirai donc, que c'est de Floridan même que j'ai su tout ce qui regarde l'intérêt qu'il a pour vous ; non pas qu'une particulière vanité, comme vous le soupçonnez, l'ait porté à m'en entretenir, mais c'est qu'il lui a été impossible de cacher à ma vigilance un intérêt qui le rend criminel, et moi misérable. (Acte 2, scène 3, PARTHÉNICE)
Mais, Célinde, puisqu'un malade ne peut mieux guérir qu'en découvrant son mal au Médecin qui en a les remèdes infaillibles, je vois bien qu'il faut que je vous déclare le mien, et que je vous en parle comme à celle qui a cela de commun avec les Dieux, qu'elle est aujourd'hui l'Arbitre souverain de ma mort ou de ma vie. (Acte 2, scène 3, PARTHÉNICE)
Sachez donc, ma compagne, qu'il y peut avoir deux ans que ce même Floridan, qui soupire maintenant pour vous, commença de brûler pour moi d'une flamme qu'autre chose que sa légèreté ne pouvait jamais éteindre. (Acte 2, scène 3, PARTH?NICE)
Deux ans ont vu le cours de cette affection ; mais comme la sienne naquit dans un moment, un moment aussi l'a vu mourir. (Acte 2, scène 3, PARTH?NICE)
Si son inconstance a touché mon esprit, j'en laisse Juges ceux qui ont été trahis comme moi ; tant y a que ce matin l'ayant surpris en son délit, et mes transports m'ayant fait en vain attenter contre sa vie, je suis restée sans remède, si votre pitié ne m'en laisse désormais espérer. (Acte 2, scène 3, PARTH?NICE)
Je vous conjure donc, chère Célinde, par notre amitié contractée depuis le berceau, et qui s'est accrue comme nos années, de punir par un mépris éternel la trahison de ce perfide, et de ne consentir jamais que son crime trouve un refuge auprès de vous. (Acte 2, scène 3, PARTH?NICE)
Je m'en étonne pourtant, puisque Célinde et Parthénice ayant toutes les excellentes qualités qui peuvent rendre un corps et un esprit recommandables, il serait difficile qu'elles eussent donné à leur entretien un objet qui ne fût aimable, et plein de mérite comme elles. (Acte 2, scène 4, LUCIDOR)
Si vous donnez vos yeux à Parthénice, donnez votre coeur à Floridan, ou pour le moins permettez qu'il s'approche de mes flammes, peut-être quelque étincelle le pourra toucher. (Acte 2, scène 4, FLORIDAN)
Je veux dire, Madame, que ces preuves d'une médiocre inclination, sont une récompense due à tous ceux dont l'âme desquels votre beauté fera quelques blessures ; mais pour moi de qui la passion a paru dans une recherche, qui ayant été reçue, me promet un triomphe éternel, pardonnez-moi si je dis que la seule parole est une faveur petite, et qu'elle est peut-être moins une marque de votre flamme que de votre froideur. (Acte 2, scène 4, FLORIDAN)
Ne vous affligez plus, belle Parthénice, mais espérez en cette éternelle vicissitude qui règne sur tous nos mouvements ; et souvenez-vous que de même que tel, dont l'exemple n'est pas loin, se flatte de la possession d'un bien dont il peut mettre la conquête dans le nombre des choses impossibles, de même aussi, tel bien souvent croit être misérable, qui dans une heure se voit porté du centre des disgrâces au sommet des plus hautes félicités. (Acte 2, scène 4, LUCIDOR)
Maintenant je confesse que tes grâces sont au-dessus de notre mérite, comme ta clémence est au-dessus de nos forfaits : ma joie qui a cela de commun avec la douleur, qu'à peine se peut-elle exprimer que par des larmes, m'oblige à vouer sur tes Autels une éternelle suite de victimes. (Acte 2, scène 5, AMINTOR)
Mais achevons notre dessein commencé. (Acte 2, scène 5, AMINTOR)
Il faut, si je suis cru, qu'aujourd'hui même ce mariage se consomme, et je ne serai point plutôt de retour chez moi, que j'en prononcerai l'arrêt à Célinde. (Acte 2, scène 5, AMINTOR)
Je les ai laissés qu'ils étaient presque achevés d'habiller, je pense qu'ils commenceront bientôt ; cependant prenons les sièges les plus commodes pour les voir avecque attention : entre amis les plus petites cérémonies sont un grand crime, mettez-vous où vous croirez être le mieux. (Acte 3, scène 1, AMINTOR)
Ils sont assez vaincus, et n'importe comment, v.141 (Acte V1, scène 3, HOLOFERNE)
Mesurez votre envie au pouvoir d'une femme, v.172 (Acte V2, scène 1, ABRA)
Ne dormira jamais que d'un sommeil de mort. v.194 (Acte V2, scène 1, JUDITH)
Et de qui comme toi nous révérons les lois, v.197 (Acte V2, scène 1, OSIAS)
Punit comme il lui plaît l'insolence des Rois. v.198 (Acte V2, scène 1, OSIAS)
Ils le nomment leur Temple ouvrage magnifique v.220 (Acte V2, scène 2, L'EUNUQUE)
Je viens pour te montrer comme il le faut punir. v.238 (Acte V2, scène 3, JUDITH)
Ah comment pouvez-vous beaux yeux rois de nos âmes v.263 (Acte V3, scène 1, HOLOFERNE)
D'un si petit rayon produire tant de flammes ? v.264 (Acte V3, scène 1, HOLOFERNE)
Douce Nuit fait divorce avecque le sommeil, v.330 (Acte V3, scène 4, HOLOFERNE)
Ah sommeil pour ce coup écoute mes prières, v.343 (Acte V3, scène 4, HOLOFERNE)
Écoute comme il ronfle : Ô Ciel ! Mon entreprise v.359 (Acte V3, scène 5, JUDITH)
Et laisse-lui changer le sommeil à la Mort. v.362 (Acte V3, scène 5, ABRA)
Parents, que désormais je nomme barbares, étonnez-vous de votre tyrannie, non pas de mon action : votre violence et mon désespoir sont les meurtriers de Floridan ; et vous éprouvez aujourd'hui combien était injuste la loi par laquelle vous me vouliez contraindre à trahir les flammes de Lucidor : il est mon mari depuis longtemps, et nul homme sans mourir ne pouvait m'empêcher d'être sa femme. (Acte V3, scène 5, CÉLINDE)
Son crime ne manquera pas de châtiment, ou je manquerai de vie, car je vais faire armer pour ma vengeance, la Justice du Ciel et celle des hommes. (Acte V3, scène 5, DORICE)
Je sais bien que depuis quelque temps la trahison l'a fait vivre coupable, mais je ne saurais m'empêcher de le plaindre comme s'il mourait innocent. (Acte 4, scène 1, PARTHÉNICE)
Qui d'un seul coup as pu commettre deux homicides, quelle main croirai-je qui t'a guidée celle de Célinde, ou d'Alecton ? (Acte 4, scène 1, PARTH?NICE)
Ah Célinde, que vous allumez un grand combat dans mon âme entre l'Amour et l'Amitié, et que ces deux puissances, bien que comprises sous une même passion, excitent en moi des mouvements contraires ; l'une me fait désirer votre ruine, comme vous avez détruit mes plaisirs, et l'autre condamnant ce désir, rejette la principale cause de cet étrange accident sur moi misérable, qui vous ai conjurée de ne vouloir jamais épouser Floridan. (Acte 4, scène 1, PARTH?NICE)
Quoi que c'en soit, vous avez tué Floridan, et de quelque oeil que je regarde votre action, il faut toujours que je me considère comme celle à la passion de qui vous avez voulu sacrifier cette victime. (Acte 4, scène 1, PARTH?NICE)
À ce compte tu voudrais que l'offense de Célinde demeurât sans punition, comme toi sans ressentiment : ne crains-tu point qu'en la souffrance de ce crime, on trouve un sujet capable de te faire accuser de lâcheté ? (Acte 4, scène 2, DORICE)
Comment Lucidor ? (Acte 4, scène 2, FLORIDAN)
Je t'en réciterai tantôt les particularités, c'est assez pour cette heure que tu saches qu'il confesse avoir trempé en cette trahison, et qu'en suite de cela, comme complice de Célinde, de même qu'elle il a été constitué prisonnier. (Acte 4, scène 2, DORICE)
Je ne saurais croire qu'un si lâche dessein ait occupé la pensée d'un Gentilhomme : quoi que c'en soit, cela m'apprend que je ne dois rien espérer de Célinde, et que pour être sage je n'y devais rien désirer ; ma conscience m'en a parlé souvent, mais, Madame, vous avez autrement disposé de mes volontés. (Acte 4, scène 2, FLORIDAN)
Ne dites pas cela, Floridan, comme vous n'avez vécu que pour elle, elle seule est cause de votre mort. (Acte 4, scène 2, PARTHÉNICE)
Mon esprit n'a pas été aveugle comme mon obéissance ; et sachez que de quelques flatteries que je l'aie entretenue, la vérité m'a toujours dit, que si vous lui deviez céder en quelque chose, c'était en la bonne fortune seulement. (Acte 4, scène 2, FLORIDAN)
Courage donc, belle Parthénice, achevez ce que Célinde a commencé, je lui pardonne sa trahison, si elle vous fait consentir à vous venger de la mienne : vous avez déjà fait ce dessein une fois, qui vous empêche à cette heure de l'exécuter ? (Acte 4, scène 2, FLORIDAN)
Ah Floridan ne me pressez pas de commettre cette injustice, vous vivrez au-delà des siècles, si vous ne mourez que par mon consentement. (Acte 4, scène 2, PARTHÉNICE)
Si mon offense était médiocre, je pourrais oser ce que vous dites, mais il est de mon péché, comme de certains crimes qui ne pouvant jamais avoir de grâce, limitent en quelque sorte la puissance de nos Rois : j'ai trop failli, Madame ; toutefois, si mon repentir, qui est pas moindre que ma faute, est une satisfaction assez grande pour expier ma trahison, recevez-le, chère Parthénice, et accordez-lui, devant que j'expire, le pardon qui me peut faire mourir content. (Acte 4, scène 2, FLORIDAN)
Non non, puisque je les souffre pour Célinde, je les bénis, ces malheurs, et les chéris comme les agréables marques qui lui doivent faire connaître l'extrémité de ma passion. (Acte 4, scène 3, LUCIDOR)
J'entends qu'on me nomme, n'est-ce point la voix de quelque Geôlier, qui m'appelle ? (Acte 4, scène 3, LUCIDOR)
Puisque je ne saurais être captif sous d'autres fers que les vôtres ; vous n'avez qu'à consulter ce que vous êtes pour savoir comme est faite ma prison : aussi ne doutez pas que si on vous fait quelque outrage je ne périsse nécessairement, comme ceux qui pour être enfermés dans une Tour, ne sauraient éviter d'être ensevelis sous ses ruines. (Acte 4, scène 3, LUCIDOR)
Ce lieu nous est assez commode, puisqu'il est fréquenté de si peu de personnes, qu'à peine que la solitude n'y règne comme dans les bois, après cela je te dirai à quoi je désire m'en servir. (Acte 4, scène 4, LUCIDOR)
Ne doutez pas que je ne le fasse, et que je ne revienne ici aussi souvent que vous me l'ordonnerez, voyons seulement comme je me mettrai. (Acte 4, scène 4, PHILINDRE)
Nullement, ou j'ai droit de t'accuser de la même chose, car je vois ton visage qui se meut ; mais je pense qu'à faute que le miroir soit ferme, il nous en prend comme à ces hauts rochers de qui l'ombre ne laisse pas de se mouvoir sur les ondes à cause du mouvement des flots. (Acte 4, scène 4, CÉLINDE)
Cela me fait souvenir d'une remarque que j'ai faite quelquefois en l'homme, et où je n'ai pas trouvé un petit sujet d'étonnement, c'est qu'il se voit si souvent, et a toutefois tant de peine à se connaître : de là procèdent presque tous les maux dont nous sommes affligés ; et sans que j'en déduise une quantité d'exemples, la mort récente de Floridan en est une remarquable preuve. (Acte 4, scène 5, FLEURIMON)
Amintor infortuné, eusses-tu cru que de la désobéissance de ta fille, eût dû naître, comme d'une source de malheurs, tout l'ennui dont ta vieillesse se voit maintenant accablée ? (Acte 4, scène 6, AMINTOR)
Cette belle fille avait brûlé pour lui d'une secrète flamme, et dit-on que Floridan avait été quelque temps sans brûler aussi que du même feu ; tant y a que ce Chevalier étant mort, et Parthénice ne trouvant plus en lui de chaleur ni de mouvement, elle a commencé de vomir sur Célinde toutes les imprécations qui peuvent sortir d'une bouche que la fureur fait parler. (Acte 4, scène 6, FLEURIMON)
Ah si jamais j'eus quelque sujet de porter envie à la condition de ceux qui vivaient durant l'innocence du premier âge, c'est depuis que la voix d'un peuple m'a élu souverain Magistrat pour présider en ce trône où la Justice tient son empire, et pour y prononcer les Décrets des Dieux en faveur des innocents, ou à la ruine des coupables ; car alors nulles actions ne pouvant porter le nom de crime, la nécessité de les punir n'avait pas introduit l'usage des Juges, et la malice des hommes n'avait point fait établir de lois pour réfréner les vices, puisque ces Monstres n'avaient pas encore vu le jour. (Acte 5, scène 1, ALCANDRE)
Mais depuis que l'Avarice et l'Ambition, pestes fatales à l'Univers, commencèrent d'infecter les âmes, les vices naquirent, et cette innocence mourut ; la faim d'avoir, sema la discorde dans les familles, partagea l'inclination des peuples, et mit... (Acte 5, scène 1, ALCANDRE)
Célinde n'a mis qu'un moment à me ravir celui que mes soins avaient conservé depuis tant d'années, et semble que sa trahison a pris plaisir d'éprouver, si en la mort de Floridan, mes douleurs seraient extrêmes comme en sa naissance. (Acte 5, scène 1, DORICE)
Je ne pense pas que celle de Célinde n'éclate assez dans la violence de ma douleur, outre qu'elle n'a pas besoin de témoins, puisqu'elle a été commise publiquement, et que tantôt sa confession a prévenu mes doutes, comme si elle eût dû tirer quelque sujet de gloire de l'excès de sa lâcheté. (Acte 5, scène 1, DORICE)
Il est raisonnable qu'un homme meure pour un homme, non pas Célinde, qui ne peut être un objet de vengeance à celui qui l'eût durant sa vie pour l'objet de son amour. (Acte 5, scène 1, LUCIDOR)
Grand Alcandre, comme mon offense ne vous peut être cachée j'espère que votre prudence verra clairement l'innocence de Lucidor, et que votre probité de tout temps incorruptible, trompera la haine de Dorice, qui n'ayant plus de fils, serait bien aise d'avoir toutes les mères pour compagnes de son infortune. (Acte 5, scène 1, CÉLINDE)
Oui si l'ombre de Floridan pouvait être consultée, elle dirait bientôt qui de Célinde et de moi, doit être puni comme coupable, ou conservé comme innocent, elle vous apprendrait, grand Alcandre, que puisqu'il était fatal à Floridan de mourir pour elle, il n'importait que ce fût d'un coup de sa main ou de ses yeux ; mais que ma seule jalousie ayant tramée cette trahison, on s'en doit prendre à moi comme à la première cause : en effet on n'a pas accoutumé de rompre le fer qu'un assassin a trempé dans le sang de son frère, on s'attaque au meurtrier ; ainsi on doit épargner Célinde, puisque contrainte de céder à la force de mes persuasions, elle n'a servi en cet homicide, que d'instrument à ma cruauté. (Acte 5, scène 1, LUCIDOR)
Non non, tant s'en faut qu'il ait contribué quelque chose à mon offense ; que même il n'en a pas su le dessein : ma fureur a été si prompte qu'elle a prévenu ses soupçons, et je dirais qu'elle m'a prévenue moi-même, si je n'avais fait une résolution inviolable de n'alléguer pas une seule excuse en ma faveur : et quant à ce qu'il dit qu'il est raisonnable qu'un homme meure pour un homme, souvenez-vous qu'autre victime que moi ne peut contenter les Mânes de Floridan, comme autrefois Achille ne put être apaisé que par le sacrifice de Polyxène. (Acte 5, scène 1, CÉLINDE)
Équitable Juge, je sais bien que la charge que vous exercez veut que votre âme soit insensible au trait des passions, aussi je ne demande pas que votre coeur reçoive pour Célinde quelque sentiment de pitié ; mais comme elle est ingénieuse à chercher les occasions de mourir, permettez-moi de vous déduire les raisons qui vous doivent faire consentir à la laisser vivre. (Acte 5, scène 1, LUCIDOR)
Non non, généreux Alcandre, je n'ai pas tué Floridan pour l'amour de lui, comme il dit, mais pour l'amour de moi seulement, qui n'ai trouvé que ce moyen pour m'affranchir de sa possession, et de la tyrannie de mon père. (Acte 5, scène 1, CÉLINDE)
Ta faute envers moi n'est pas moindre que l'injure que je t'ai faite, ainsi puisque nous sommes également coupables, je désire que nous soyons également pardonnés. (Acte 5, scène 3, CÉLINDE)
Cher Lucidor, le plus fidèle de tous les hommes, aime le souvenir de Célinde, et sois assuré, que s'il reste parmi les morts quelque mémoire du passé, je n'aurai dans l'esprit autre entretien que celui de l'amour que tu m'as témoignée. (Acte 5, scène 3, C?LINDE)
Je reçois vos excuses, et suis bien aise de quoi cette invention s'est opposée à l'exécution d'un Arrêt que je n'eusse prononcé qu'avec un déplaisir extrême : le seul scrupule qui me reste, c'est que je doute comme il est possible que la blessure de Floridan ait été si petite, et qu'elle ait produit un effet si grand. (Acte 5, scène 3, ALCANDRE)
Ce n'est pas sans cause que l'esprit d'une femme est à craindre, puisqu'il n'épargne rien pour venir à bout de ses intentions. (Acte 5, scène 3, ALCANDRE)
Cependant contre les privilèges de la Nature, tu as usé de force contre ton propre sang, et as voulu que les flammes de Floridan compatissent avecque les glaces de Célinde. (Acte 5, scène 4, ALCANDRE)
Or tu vois à quelle extrémité ta violence l'a réduite, puisque destinée à mourir pour l'expiation de son crime rien au monde n'est désormais capable de la sauver, et pour ce que ton forfait est comme la cause du sien, j'ordonne que tu assisteras à son supplice, afin que par l'étroite liaison qui unit un père à ses enfants tu participes à la peine qu'elle a méritée. (Acte 5, scène 4, ALCANDRE)
Je n'ai garde de murmurer contre cette ordonnance puisque n'ayant plus de passion que pour mourir, je reçois comme un grand bien, toutes les occasions qui peuvent avancer la fin de ma vie. (Acte 5, scène 4, AMINTOR)
Mais pour ne laisser après moi aucune tache qui puisse noircir ma renommée j'atteste les Dieux que ce que vous nommez une tyrannie, n'a été qu'un désir violent de procurer à Célinde un avantage qu'elle ne méritait pas. (Acte 5, scène 4, AMINTOR)
Et quant à ce qui regarde l'intérêt de Lucidor, je veux être tenu pour le plus méchant de tous les hommes, si j'en ai jamais rien su qu'après que le mal a été hors de toute espérance de remède. (Acte 5, scène 4, AMINTOR)
J'accepte votre alliance et la veux chérir comme la plus grande grâce que je pouvais recevoir du Ciel. (Acte 5, scène 4, AMINTOR)

Dans les 1895 textes du corpus, il y a 6 textes (soit une présence dans 0,32 % des textes) dans lesquels il y a 461 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 76,83 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 2	Acte 3	Acte 4	Acte 5	Acte 6	Acte V1	Acte V2	Acte V3	Total
1	LA PARTHÉNIE	22	9	8	18	8	0	0	0	0	65
2	SAINT EUSTACHE MARTYR	17	11	12	16	22	0	0	0	0	78
3	CLARIMONDE	17	12	14	15	11	0	0	0	0	69
4	LE PRINCE FUGITIF	10	7	9	12	0	7	0	0	0	45
5	LA CLORISE	32	13	12	11	18	0	0	0	0	86
6	C?LINDE	27	33	1	22	20	0	0	0	2	105
7	CÉLINDE	0	0	0	0	0	0	1	6	6	13
	Total	125	85	56	94	79	7	1	6	8	461